Les côtes du dragon (2/11/14)
Les Côtes du dragons se déroule à Saint-Geroges. C’est un jogging auquel j’avais déjà participer l’année dernière et je l’avais annoté : “À refaire l’année prochaine !”.
Donc c’est sans hésitez que je me suis inscrit cette année. Le parcours nous fais découvrir les sentiers, les champs, le parc de deux châteaux et un peu les bois de la région.
Ce matin, il fait frais avec quelques rayons de soleil. Par chance les jours précédents il n’a pas plu, ce qui nous épargnera la boue.
Avant la course
1er objectif, tenter de battre mon record du l’année précédente, soit 53′33″.
Arrivé sur place bien à l’avance, nous avons tout le loisir de choisir notre place de parking et de retirer notre dossard dans le calme.
Je me rappelle surtout d’une côte dans laquelle j’avais dû marcher l’année dernière, ainsi qu’un parcours qui descend les 5 premiers kilomètres et remonte les suivant. Le mot d’ordre sera donc de se ménager pour la deuxième partie du parcours.
La course proprement dite
Les sensations
Me rappelant “les chemins de vache” de l’année précédente, je me place assez devant dans le peloton.
Le coup d’envoi est donné, et après 1 kilomètre je remarque que je cours à plus de 14km/h. Même si c’est dans un dénivelé négatif, c’est quand même de trop en prévision des côtes à venir.
Après 2-3 kilomètre je rejoins Frédérique. Sachant qu’il cours plus rapidement que moi, je me décider à l’accrocher. Je devrai un peu forcer mon allure pour le suivre sur le plat. Et à l’inverse, je gagnerai un peu du terrain quand ça monte légèrement.
Arrivé à ma fameuse petite bute des 5 kilomètres, je commence à monter et sentant la difficulté, je change directement de stratégie : marche rapide. Et cela porte ces fruits. Comme l’année dernière, je rattrape mes concurrents sur le plat qui suit.
Kilomètre 6, en plein faux plat, la fatigue est réellement présente. J’attendrai d’être sur du plat, un kilomètre plus tard pour absorber un carré de confiture/caféine. Personnellement j’ai du mal à manger en courant, alors en montant c’est pour m’asphyxier.
Kilomètre 8, le carré énergétique fait son effet et je peux reprendre une allure habituelle.
Arrivée – 2 kilomètres je décide de soutenir mon allure ce qui me permet de dépasser deux joggeurs qui venait juste de me passer devant. Et nous arrivons à la dernière partie : dans le parc du château.
Je remarque que je ne suis pas le seul à avoir augmenté son allure.
Sous l’oeil du photographe, et voulant faire bonne figure, je me rends compte que j’ai accélérer sans l’avoir décidé. J’en profite donc pour continuer sur ma lancée. Comme à mon habitude je reprends quelques joggeurs sur le dernier kilomètre.
Résultat : J’ai atteins mon objectif avec 51′53″.
Il est évident que je sais facilement gérer mon allure à la sensation (comme le fait Christian) sur du plat. Mais ce n’est pas encore la panacée sur des terrains avec du dénivelé.
Je pense à utiliser la technique du cardio. comme Oli le pratique.
Comme l’année dernière, le parcours fut très agréable dans cette ambiance nature. Et cette fois-ci sans la boue !
Données réelles :
- Distance totale : 10,73 km
- Temps : 51′53″
- Dénivellation du terrain sur l’ensemble du parcours : 91 m
- Calories dépensées : 889
- Vitesse moyenne : 4′50″ (12,4 km/h)
Classement (578)
Parcours Openrunner :
https://www.openrunner.com/r/1897108
Les photos :
- Pierre Jadot :
https://plus.google.com/photos/109566297254375208899/albums/6077122805444927345 - Mw Bigdil : https://www.facebook.com/mw.bigdil/media_set?set=a.717637344983158.1073742066.100002106987623&type=3
- Louis Maréchal et Anaïs :
https://www.facebook.com/louis.marechal.37/media_set?set=a.306329479570149.1073741942.100005792980480&type=3