L’Urban Liège tour est une course qui à pour but de faire visiter la ville en courant.

Avant la course

Ayant eu un accident l’année dernière à cette période, je n’ai pas d’infos sur lesquels me baser sur cette course. Je dois retourner en Urban Liège Tour 2012 pour relire mon compte rendu un peu bref de cette course.

Étant donné que dimanche prochain est prévu mon premier Marathon, je dois pratiquer ce jogging comme entraînement à une allure assez posée. Pour bien faire il faudrait que j’adopte l’allure de mon marathon sur ce parcours.

Dommage, j’aurais bien voulu battre mon record personnel qui est de 1h20’10”.

Sur place, 50 minutes avant le départ, il y a déjà pas mal de monde. Par contre ça ne me prendra qu’une minute de faire la file des inscriptions du jour. Nous est offert pour cette occasion un T-shirt sponsorisé par Lampiris (Logo bien en grand). Je rencontre beaucoup de monde de milieux différents (amis, sport, connaissance, travail, …), bref ce jogging touche beaucoup de monde.

Une demi-heure avant le départ, je m’échauffe avec deux amis. Un peu plus loin, je rencontre mes deux compagnons de marathon. On se placera ensemble derrière la ligne de départ sans trop se stresser sur le placement.

La course à proprement dite

Les sensations

Le départ est donné et nous attendons facilement 5 seconde avant de faire le premier pas. Ensuite nous jouerons au slalom afin de dépasser les plus lent que nous. A peine 500 mètre plus loin on se rend compte que nous sommes à une vitesse de 4’35” soit du 13km/h. Un peu vite pour une course que l’on devait aborder de manière calme. Les 2 kilomètres suivant on lèvera les pieds pour faire du 4’55” jusqu’à la côte des 3 kilomètres. On ralentit encore l’allure pour osciller entre 5’05” et 5’40” jusqu’au Mont Saint-Martin.

En haut de cette petite côte nous attends le ravitaillement en eau et marque le 5^e kilomètre. Au vu du beau soleil et du petit dénivelé précédent, l’eau nous fait du bien. S’ensuit une descente vers la rue Louvrex, ou l’on reprends vite de l’allure (4’30”) et ou une pointe vient me titiller les côtes.

J’entends José respirer lourdement, il nous informe qu’il est à sa vitesse maximum. On ralentira quelque peu (4’50″/5’00”) jusqu’au kilomètre 10, deuxième et dernier ravitaillement se situant légèrement après le complexe Belle-Ile. Sur place José nous indique qu’il préfère qu’on le laisse, il ne tient plus notre rythme.

Je repars avec Guy qui a l’air aussi en forme que moi, et en plein dans la course. Allure 4’45”, nous dépassons tranquillement les joggeurs qui nous avaient rattrapé précédemment. Nous grappillons quelques secondes à chaque kilomètre au fur et à mesure que l’arrivée se rapproche.
Pendant 1 petit kilomètre, je serai parcourus d’une sensation de plaisirs ou la fatigué, les douleurs, l’épuisement a complètement disparu. Un peu comme si je courais dans un rêve. Mais cet état est précaire et l’on sent vite qu’un changement de rythme peut facilement faire se volatiliser ce plaisir. Ce qui ne tardera pas suite à une très légère montée sur la passerelle du quai du Condroz. Qu’à cela ne tienne, il ne reste plus qu’un kilomètre.

Et ceux qui on l’habitude de me lire savent que le dernier kilomètre à mes mieux n’existe que pour accélérer et donner tous ce qu’il nous reste.
Je parviendrai même à rattraper une jeune femme que José nous avait fait remarquer pour ces capacités sportives et autres 😉

A l’arrivée “l’Objectif” que l’on c’était fixé est loin d’être atteins. Nous avons été pris par l’ambiance de la course et nous nous sommes laissé entraîner.

Données réelles (Tomtom nike)

• Distance totale : 15 km
• Temps total de la course : 1h12′ 49”
• Vitesse moyenne : 4’51″/km (12,4 km/h)
• Calories brûlées : 1292
• Différence de dénivellation : 56 m

Classement des 15 km (1849 participants)

Parcours Openrunner

Vidéo

Photos de joggeurs

• Photos Jo Defrère
• Photos de C. Carré
• Premières photos
• Photos « La Meuse »

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